Psychologue clinicien d’orientation analytique, diplômé de l’université Paris VII (N° Adeli 75 93 7264 2), vous accueille à son cabinet, situé dans le 16 ème arrondissement de Paris, rue Boileau, au sein du quartier d’Auteuil.
Je reçois aussi à Nice, à proximité du centre ville, une dizaine de jours par mois, rue Gioffredo.
Pratiquant par ailleurs l’hypnose Ericksonienne, des séances d’hypnose peuvent être envisagées, pour un certain nombre de problématiques (stress post-traumatique, affection psychosomatique, addictions, arrêt du tabac, comportements délétères, prise en charge de la douleur chronique etc…)
Des téléconsultations via Doctolib sont aussi proposées.
Vous pouvez me joindre pour toute information, via le formulaire de contact, ou par téléphone au 06 82 00 61 57.

Quand consulter?
Les raisons pouvant justifier d’une demande de consultation sont plurielles. Il peut s’agir de problématiques structurelles, prenant racine dans l’histoire du sujet, dans sa constellation familiale et/ou sociale, ou d’évènements traumatiques ayant bouleversé un équilibre préexistant (accident, viol, agression…). Cette volonté de consulter succède souvent à un temps, durant lequel le patient, pensant pouvoir résoudre ses problèmes ou endiguer ses symptômes par lui-même, réalise à ses dépens que la volonté et la raison n’ont souvent prise sur son état, et que ni ses pulsions, ses angoisses, ou ses émotions ne se soumettent à sa volonté consciente. S’il en résulte une tension trop importante, source de mal-être ou de difficultés sociales, une demande de prise en charge pourra alors sembler opportune.
Qu’est-on en droit d’attendre d’une psychothérapie?
Les modalités de la prise en charge seront fonction de la problématique du patient. Dans le cadre d’une structuration névrotique, il s’agira le plus souvent d’un travail de conscientisation des conflits intra psychiques, qui pourront être dépassés grâce à leur réactualisation dans le cadre transférentiel, dont le thérapeute sera le dépositaire.
Dans les problématiques de type « borderline » ou « états-limites« , qui sont légions de nos jours, le travail de mise en récit, d’élaboration, et de mise en lien des différents évènements structurants (et déstructurants) de l’histoire du patient, permettra de réduire graduellement la fracture que constitue le clivage psychique, et de réunifier le sujet, au profit d’une parole « vraie », qui viendra supplanter la tendance à l’agir qui les caractérise.
Les traumatismes psychiques étant cependant fréquents chez ces patients, ainsi qu’une propension certaine aux addictions, et aux troubles du comportement, l’hypnose Ericksonienne sera souvent privilégiée à une approche trop analytique.
De façon plus générale, le cadre psychothérapeutique permet de réamorcer un processus maturant, de remobiliser le mouvement psychique et la vie fantasmatique, souvent figés par des traumatismes ou des constellations familiales trop pathogènes. En cela il participe ainsi à une véritable entreprise de subjectivation, permettant au patient de s’inscrire dans une compréhension plus éclairée de son histoire, le dégageant par la même occasion de l’emprise d’évènements parfois néfastes.